Test Venzia 14 ou 15 aout

[Nemesis]

Coucou,

J'ai une petite envie de tester Venzia ce week end. Des intéressés?

C'est un jeu "DaVinci punk" dans un monde (Reggia) fin-renaissance post-apo (les eaux ont tout recouvert sauf 12 cités bâties à la hâte au sommet de montagnes par des êtres "déifiés" venus des étoiles (les Pélerins)) dans lequel vous incarnez des agents du Doge de Veni... euh de Venzia pour résoudre des complots au sein de la cité et pour affronter des menaces dont le commun des mortels n'a pas à connaître). Non officiellement reconnus, vous agissez avec certains appuis mais sans autorisation, suppléant le manque de lattitude du Doge dans ses actions (Il doit en référer au Conseil des Dix pour lever le petit doigt). A toute fin utiles, vous aurez rapidement en votre possession un gantelet issu de la technologie des Pélerins capable de déployer sur vous une armure Hippogriffe à même de venir à bout d'une Chimère Noire ou d'une Aberration (en évitant les témoins gênants si possible).

[Leviatrifox]

Non je ne viens plus sur tes tes tables, j'ai une trop facheuse tendance à me retrouver 4 fois à la morgue par scénar....

Sinon je suis dispo lundi =)

[->V<-]

ça a l'air sympas

[Nemesis]

Non je ne viens plus sur tes tes tables, j'ai une trop facheuse tendance à me retrouver 4 fois à la morgue par scénar....

Techniquement, ils n'ont pas placé ton cadavre à la morgue alors ce n'est pas tout à fait... ^^
(et puis il ne faut jamais croire que la mort est ce qu'il peut arriver de plus handicapant...)

Sinon du coup lundi.
Y'a un lieu qui vous arrange plus qu'un autre? Le local ou ailleurs?
On va essayer de glaner un troisième. Xef était ptet dispo.

[Nemesis]

En l'absence de réponse, ce sera lundi 11h au local.
A demain.

[Sorin]

Yo juste pour prévenir, durant la période d’Août un système de réservation du local pour y jouer et évité que d'autre membre de Antre s'incruste et et vous demande de dégager du coup si tu veux jouer au local demain il faudrait que tu envoi un mail au C.A. en indiquant quelle membre du C.A. seras présent.

A vrai dire je pensais déjà utiliser le créneaux pour faire une partie mais on peut évidemment s'arranger en prenant un salle libre.

[Nemesis]

Ah ok. Bon on se débrouillera.
Les salles en haut sont ouvertes ou verrouillées?

[Sorin]

Elle sont ouverte

[Nemesis]

Rapide retour :

Groupe composé d'une gueule brûlée (mécano) avec une armure hippogriffe type soutien à tendance offensive et d'une artiste de rue/voleuse/agitatrice avec une armure hippogriffe type mobile/fuite.

Attention, si comptez un jour jouer ce scénar, évitez de lire la suite.

Salvatore, intendant de la Confrérie, les convoque pour une affaire embêtante. Une femme très agitée, épouse d'un employé de l'administration, vient crier à toutes les portes pour exiger que l'on vienne au secours de son amie disparue. Le mari de la femme prétendument disparue affirme qu'elle a gagné une croisière d'une semaine sur laquelle elle est partie il y'a deux jours. N'en croyant pas un seul mot, depuis deux jours elle vient crier à l'enlèvement et au complot auprès de la garde et de la milice. Elle a même tenté de forcer le passage dans le palais du Doge pour exiger que l'on s'occupe de son cas. Elle a été expulsée manu militari mais cela ne l'a pas refroidie pour autant. L'arrêter officiellement donnerait certainement du crédit à ses allégations farfelues de complot. Salvatore veut que vous vous en occupiez avant que la situation ne dégénère. Que ce soit en éclaircissant la situation, en la persuadant ou autrement, le tout est que l'on en entende plus parler.

Une visite chez cette femme dans le sestiere Rialto (et chez la vieille dame qui habite en bas au passage. Et chez la voisine d'en face aussi.), révèle qu'elle est partie il y'a peu en direction de la demeure principale de la famille Contarini en vue de s'introduire dans une réception familiale pour exiger qu'ils fassent quelque chose. Au vu des récents assassinats dont a souffert cette famille, s'introduire chez eux a de fortes chances de de se finir par la prison ou la mort. Si la gueule brûlée a bien du mal à courir jusque là, l'artiste trotte comme un cabri, regarde la femme escalader l'enceinte tout en papotant avec les gardes. Lorsque cette femme arrive en haut du mur, l'artiste la dénonce et l'alerte est donnée. L'artiste escalade également l'enceinte, plaque un garde par mégarde, puis plaque l'intruse. Les deux femmes sont arrêtées et placées temporairement en détention dans le but d'être interrogées après la réception avant d'être livrées aux autorités. L'artiste se moque dangereusement des gardes en parvenant à quitter sa cellule puis en allant les voir, puis en faisant des trous dans le mur de pierre, incriminant des termites.

Pendant ce temps, le mécano va voir au Rialto l'époux de la femme prétendument disparue qui s'en tient à sa version. Sa femme lui a dit avoir acheté un ticket de loterie à la compagnie des mers du sud et a remporté une croisière d’agrément d'une semaine sur un de leurs navires. Il ne connait pas vraiment tous les détails de la transaction. Tout semble concorder mais l'homme semble anormalement tendu et anxieux lorsque l'on aborde le sujet de sa femme.

Il va ensuite à la boutique de la compagnie des mers du sud. Étonnamment, elle ne se trouve pas au port mais dans un quartier résidentiel des Piani di Borghia. C'est visiblement une petite bâtisse en mauvais état qui a été très rapidement et sommairement réparée. Le vendeur est visiblement très peu aimable et, puisque ce visiteur ne veut pas acheter de billet, lui n'est pas là pour vendre des informations (qui plus est à un quidam lambda). Il se rend ensuite au port, mais, sans le nom du navire, de son capitaine ou d'une éventuelle cargaison, la capitainerie ne peut pas vraiment l'aider. Il pensait aller à la taverne du coin mais oublie finalement cette idée. Il retourne à la boutique histoire de pousser un peu plus son interrogatoire et d'avoir des informations à recouper mais est accueilli encore plus fraîchement que la dernière fois. Il finit par s'énerver et sort son hippogriffe pour le passer à tabac. Il parvient à l’assommer mais son complice parvient à s'enfuir par la fenêtre pour rejoindre une gondole à vapeur qui s'éloigne sur le canal. Il reste alors dans l'arrière boutique après avoir attaché son précédent adversaire en attendant qu'il se réveille pour l'interroger. Il constate déjà qu'il porte sur lui une série d'armes dissimulées bien inhabituelles pour un vendeur. Mais, concentré sur son prisonnier, il se fait surprendre par les renforts qu'est allé chercher le complice ne fuite. A l'aide de son armure Hippogriffe, il n'a pas de mal à les faire battre en retraite (en en tuant un one shot et le second, mal en point, se suicide en essayant d'empoisonner le mécano au passage... dont l'armure est heureusement étanche), non sans qu'ils aient pu achever le prisonnier.

Frustré, il retourne au domicile du mari afin de lui faire par des avancées de l'enquête concernant les hommes qui organisent le voyage de sa femme. De plus en plus anxieux, l'homme tremble même s'il n'en laisse rien paraître. Mais sous la tasse de café qu'il lui sert, un discret et court message au charbon résonne comme un appel à l'aide "Chercher les autres".

Allant faire un rapport provisoire à Salvatore, ce dernier lui assure qu'il se débrouillera pour faire libérer sa coéquipière mais le mécano ne semble pas emballé par l'idée et demande s'il ne serait pas judicieux de la laisser croupir en prison. Salvatore reste songeur et affirme qu'effectivement il va falloir qu'il estime si ses bénéfices valent les tracas multiples qu'elle ne cesse de provoquer. Ceci mis à part, Salvatore pense que le message doit désigner d'autres femmes dans le même cas que celle de l'employé de l'administration. Et pour qu'il soit au courant, c'est surement des femmes de certains de ses collègues. Pour savoir qui est ciblé sans que cela ne sonne trop de sirènes d'alarme, ils organisent une loterie dont le prix est d'aider au foyer les employés du Rialto dont la femme est temporairement partie.

Pendant ce temps, un allié de Salvatore, dirigeant un hôpital psychiatrique, négocie la libération de l'artiste contre faveur. Cette dernière ne lui facilite en rien la tâche. Le directeur use alors de moyens, d'abord discrets puis de moins en moins, pour qu'elle se taise et qu'ils puisse la faire sortir. Lui et Salvatore discutent ensuite de la pertinence de lui confier cette femme pour expérimenter sur elle de nouveaux traitement pour soigner la folie. S'esquivant, elle rejoint son coéquipier. Le dépouillement du scrutin donne trois candidats potentiels qui travaillent dans le même service et dont les femmes se sont absentées. Leur rendant visite, les trois semblent anxieux et leurs épouses sont toutes trois parties en même temps avec la même loterie.

Ne connaissant que peu le Rialto, ils s'adresse aux moyens de la Confrérie pour trouver le point commun entre ces trois personnes. Salvatore devient blême en recevant la réponse. Tous trois sont redondants sur le même sujet. Ils détiennent mentalement la liste des gens habilités à venir préparer la réception du Doge qui se déroule... actuellement. Se ruant vers le palais du Doge, ils arrivent alors que des Pervertis sont déjà lâchée dans la salle de réception. Tandis que Salvatore essayent de mette à l'abri les invités et que les gardes protègent le Doge et combattent les scélérats qui ont monté le coup, les PJs revêtent leurs armures Hippogriffes et affrontent les Pervertis car les renforts arriveront probablement trop tard. Le combat est difficile mais se termine sans trop de casse. Ils repoussent ensuite les scélérats, les massacrants jusqu'au dernier malgré l'envie du mécano d'en conserver un en vie pour l'interroger, envie guère suivi par sa coéquipière.

Le complot est temporairement déjoué et les femmes des employés sont libérées quelques jours plus tard (les employés ayant tenu leur langue). Par contre, difficile pour les spectateurs de trouver une explication cohérente à ce qui vient de se passer. Ils sont malgrés tout félicités pour leur travail. Le sort de l'artiste est par contre indécis pour le moment.

[->V<-]

euh...

[Nemesis]

un commentaire?

[->V<-]

combien d'étoile l'asile?

[Nemesis]

Ouh là, tu vas voir au moins 36 étoiles
Qui sait, peut être que le traitement va t'apprendre à piloter et qu'on va te renommer Looping ^^